56

Jean-Jacques Hubert

Architecte
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56.01

Motif sur hexagone

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.02

Belvédère

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.03

2 hypothèses

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.04

Structure déployable

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.05

Assise

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.06

Plissement

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.07

Plissement 2

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.08

Assise béton

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.09

Pavillon 1

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

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56.10

Pavillon 2

Je dessine pour démarrer un projet, une nouvelle histoire. Le croquis me permet de poser une idée pour passer à une autre.
A la manière d’une prise de notes, réduite à la plus simple expression, l’idée passe par la main pour prendre corps. Par un aller-retour continuel, le croquis informe le projet. Certaines idées et incertitudes sont obsédantes tant qu’elles ne prennent pas vie sur le papier.
Le croquis est simple, fruste, réducteur et ne reflète pas toute la complexité de l’idée, il la représente dans sa plus simple expression. Par moment la maladresse du trait donne à lire l’idée d’une manière inattendue, plus souvent elle la traduit avec clarté.
Je ne manie pas différentes techniques, le dessin n’est pas une fin en soi, c’est un simple medium de communication au service de l’idée. Hors du contexte le croquis n’a pas de valeur plastique particulière. Il accompagne la prise de notes et l’écriture.
Le support  du carnet vient naturellement. C’est une forme de capitalisation, page après page les projets se croisent disparaissent et réapparaissent. Le carnet permet de ne pas perdre le fil et de revenir en arrière, c’est un outil de vérification de la validité de l’idée et de son cheminement.

Biographie

Jean-Jacques Hubert est architecte DPLG, il fonde avec son épouse Charlotte, l’agence H2O, agence de création et de reprogrammation architecturale, patrimoniale et urbaine dans laquelle les rejoint un troisième associé, Antoine Santiard.