Pratique archaïque, vitale, incarnée, le dessin est pour Olivier Agid un acte d’engagement, une “simplicité complexe“. Dans un jeu d’allers-retours réguliers entre traces manuscrites et montages numériques, le dessin accompagne les différentes étapes du projet et conduit vers la synthèse nécessaire à la construction de ses événements. Conservés et archivés, les dessins initiaux gardent la mémoire de ses créations éphémères.
14.01