Ce travail prend son origine dans l’intérêt renouvelé que je porte à la cartographie du paysage. Sur la base de cartes de fleuves, les tracés sont extrapolés par deux ou trois larges coups de pinceaux. Les figures apparaissent. S’éloignant de la géographie, le tracé s’apparente à l’écriture, la peinture devient calligraphie, les cartes se font signes, les signes sont faits pour être reproduits, recomposés, pour former des syllabes, des mots, des phrases…
20.01