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Jean-Max Albert

Peintre, sculpteur, écrivain, plasticien, musicien, 1942
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109.01

Sculpture viseur 1

  • Année de création
    1987
  • Dimensions
    20 × 27 cm
  • Description

    Crayon sur papier, recto-verso

  • Typologie
    Dessins d'intention
  • Contexte

    Étude pour une sculpture

Le propos des sculptures-viseur est de rapporter une forme "concentrée" de l'espace qu'elle vise. Non pas dans le sens d'une photographie ou d'une maquette mais celle, plus abstraite, de l'esprit d'un lieu, de son caractère : sphérique, abrupt, complexe, etc. etc… L' effort de la synthèse commence avec le dessin, le croquis surtout, d'une première impression toujours fugitive, à la limite du conscient. Quelque chose débarrassé, autant que possible, de toute anecdote, imaginé comme structure.

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109.02

Sculpture viseur 2

  • Année de création
    1987
  • Dimensions
    20 × 27 cm
  • Description

    Crayon sur papier
    Inscription : sbg

  • Typologie
    Dessins d'intention
  • Contexte

    Étude pour une sculpture

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Le propos des sculptures-viseur est de rapporter une forme "concentrée" de l'espace qu'elle vise. Non pas dans le sens d'une photographie ou d'une maquette mais celle, plus abstraite, de l'esprit d'un lieu, de son caractère : sphérique, abrupt, complexe, etc. etc… L' effort de la synthèse commence avec le dessin, le croquis surtout, d'une première impression toujours fugitive, à la limite du conscient. Quelque chose débarrassé, autant que possible, de toute anecdote, imaginé comme structure.

Biographie

Après des études aux Beaux-Arts d’Angers puis de Paris, il se fait connaître comme trompettiste du quintette d’Henri Texier.
En 1975, à 23 ans, il réalise Vicenza, Hôtel de Sully, Paris, où il utilise le treillage horticole comme sculpture. Il creusera ce sillon tout au long de sa vie et réalisera des architectures végétales qui rejoignent le Land art et l’Architectural sculpture, jusqu’au projet O=C=O du Parco d’Arte Vivente de Turin, 2007.
Il échange avec de nombreux musiciens, Steve Lacy, Gyorgy Ligeti, François Tusques et établit des ponts entre musique, géométrie, sculpture. Ceci aboutira à la création de sculptures architecturales comme Iapétus, au livre « le tour du monde en 80 blues ».
Quelques axes se dégagent de sa pratique : la musique, le végétal, la sculpture, le cosmos. Ses travaux offrent un dialogue entre la structure et le vivant, le stable et l’évolutif, l’éternel et le changeant, le macrocosme et le microcosme (sculptures-viseurs).