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Pascale Klingelschmitt

Artiste céramiste
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Substrat 1

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

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Substrat 2

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

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Substrat 4

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

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Substrat 5

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

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Substrat 6

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

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Substrat 7

Le dessin comme un exutoire : une première amorce d’un travail qui commence d’abord dans la tête avant d’être investi par les mains. Je dessine pour libérer mon esprit, évacuer un trop-plein. Lorsque j’imagine ou conçois un volume, je le dessine pour désencombrer ma mémoire. Dans sa forme la plus libre et simple, le dessin a souvent beaucoup de mal à se limiter à un format prédéfini ; il peut prendre la taille du support que le hasard lui donne et son exécution est souvent rapide. Je m’inspire de formes végétales ou plus généralement organiques observées grâce aux techniques scientifiques (imagerie médicale, microscope…) que je me réapproprie par le dessin, le croquis avant de les mettre en volume. Il est bien sûr également une première étape dans la réalisation de gravures, qui sont pour moi l’interface entre la terre et le verre. Par ailleurs et plus pratiquement, j’aborde volontiers le croquis qui me permet alors de rechercher et de mettre à plat les méthodes, les procédés ou les techniques les mieux adaptés pour réaliser mes volumes ou mes installations.

Biographie

Pascale Klingelschmitt vit et travaille en Alsace. Après une formation à la Maison de la céramique de Mulhouse, elle obtient un DNSEP (Diplôme national supérieur d’expression plastique) à l’ISBA (Institut supérieur des beaux-arts) de Besançon. Ses propositions plastiques réunissant trois médiums — terre, verre et gravure — se développent entre pièces uniques et installations autour de la notion du vivant, ses temporalités ou ses mutations.