Quand je joue pas, je dessine, je pastèlle et encre de chine, voilà. Autre façon de jouer.
La page blanche s’ennuie à mourir dans son pucelage éternel. Elle attend son amant, le voyageur emplûmé qui va la faire, enfin, vivre en amour. Celui-ci, volage et passionné, lui offre sa semence et c’est alors qu’elle chante à l’infini sa romance à l’espace qui la griffe avec bonheur bonheur bonheur...
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