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Elise Gabriel

Designer, 1985
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41.01

Assemblage 1

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

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41.02

Assemblage 2

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

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Assemblage 3

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

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Lampe 1

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

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Lampe 2

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

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Lampe 3

Mes dessins existent très souvent par série. Des dizaines de feuilles où les mêmes formes, les mêmes traits se succèdent et où chaque variation est infime. A la fois matérialisation du fil de mes pensées, ces tracés reflètent également ma façon de donner corps à un objet, un travail empirique et à tâtons. Les uns derrière les autres, ces dessins constituent une généalogie formelle qui me permet alors de suivre à rebours mon cheminement mental.

Abondants durant les phases de projet, les dessins d’Elise Gabriel sont réalisés sur des feuilles libres, malgré la collection de carnets qu’elle possède. Les premiers, comme des balbutiements, sont superposés comme des notes sur la page. Certains sont retenus, redessinés et précisés jusqu’à obtenir la justesse de la forme. Dans un va-et-vient entre le prototype et les études techniques, le dessin trace l’épure. En parallèle surgissent quelques visions métaphoriques.

Biographie

Elise Gabriel est née en 1985 à Clermont-Ferrand, France. Elle est diplômée de l’École Duperré (Paris) en 2006, de l’École Boulle (Paris) en 2008 et de l’École Normale Supérieure (Cachan) en 2009. 
De sa formation en design textile, Elise Gabriel garde une sensibilité particulière à la matière et à son exploration plastique. En se confrontant ensuite au design produit mobilier, elle s’ouvre à un autre domaine celui de l’industrie et de ses contraintes. C’est alors de cette double expérience qu’elle forge son rapport au design, où se mêlent sans hiérarchie, technique et poésie, plasticité et fonctionnalité. En souvenir de son enfance passée dans les ateliers de sculpture de son père, elle partage également le goût pour le faire et la manipulation. Chaque projet est pour elle l’occasion de questionner l’ordinaire. Que son point de départ soit un geste, une matière, une technique, Elise prend plaisir à le révéler au public sous un jour nouveau.
Designer indépendante, elle partage aujourd’hui son activité entre une recherche personnelle en galerie, la conception d’espaces et de produits industriels et la mise en place d’événements culturels et pédagogiques. Ces dernières années, elle collabore avec l’Atelier d’Exercices, le Centre Pompidou, le Craft de Limoges, les Galeries Lafayette, la maison Dior, le Mac/Val et le Musée du Quai Branly. Son travail a été présenté dans différentes expositions à Dubaï, Londres, Los Angeles, Milan, New-York, Paris et Pékin. 
Plusieurs de ses projets ont été sélectionnés et soutenus par des commissions de design : "Ursule" Centre de Recherche des Arts du Feu et de la Terre de Limoges (CRAFT) - "Ossos" Centre Nationale des Arts Plastique (CNAP), acquisition du prototype - “l’Étreinte du Zelfo” Aide à la Création du VIA, projet partenarial.