122

Julian Schwarz

Sculpteur sur bois
schwarz-1
122.01

Étude 1

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-2
122.02

Étude 2

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-3
122.03

Étude 3

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-4
122.04

Étude 4

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-5
122.05

Étude 5

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-6
122.06

Étude 6

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-7
122.07

Étude 7

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-8
122.08

Étude 8

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-9
122.09

Étude 9

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-10
122.10

Étude 10

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-11
122.11

Étude 11

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

schwarz-12
122.12

Étude 12

Comme pour les vêtements et les meubles, je me sens plus à l’aise avec des crayons et des papiers d’occasion ou récupérés. Au début, je travaillais sur des plans précis pour construire avec des assemblages inventés des cercles, des sphères, des cubes ; maintenant je taille dans les grumes — les dessins sont petits, plus physiques.
Mes esquisses sont fonctionnelles, elles me servent à « déterrer » un projet. Si un croquis est vivant et m’inspire confiance, cela me suffit pour commencer un travail de trois mois, avec parfois quelques études en plus pour éclairer la route. Mais un moment arrive où je dois ignorer le dessin et où mes décisions sont conditionnées par l’évolution du bloc devant moi.
Il peut arriver qu’une épure apparemment prometteuse me trompe : séduit par de nouveaux horizons, je perds contact avec moi-même. Comme pour les jeux de l’enfance, dessiner est une activité primordiale : quand je saute sur mon vélo, j’ai toujours douze ans, griffonner est un plaisir similaire. L’enfant est le parent de l’adulte.

Biographie

Après l’école d’art Slade à Londres, Julian Schwarz construit des formes complexes en bois avec joints inventés, développées en de grands vaisseaux taillés dans un seul bloc. Puis il se consacre à la gravure sur bois et la peinture. Début 2003 il reprend son travail de sculpture en taillant des billes de bois avec des outils manuels et traditionnels.
Ses oeuvres se trouvent au Fonds National d’Art Contemporain et au Musée des Arts Décoratifs à Paris, La Henry Moore Foundation, Tate et le V&A museum bibliothèques et autres collections publiques et particulières.