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Mathilde Caylou

Artiste verrier
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139.01

Mottes

À froid, à chaud, solide ou liquide, le verre se caresse, se sculpte mais se rêve aussi. Je joue avec la transparence et la lumière. Mon travail est basé sur le sol, qui est devenu mon motif, mon moteur. Il me porte là où je me trouve. Mes centres d’intérêt embrassent les notions d’espace, de paysage. Je travaille à partir d’échantillons, d’empreintes de lieux, autour desquels je construis mes formes. Je moule la surface du sol d’un champ, et cette empreinte réapparaît ensuite dans mes sculptures et installations. Mes créations contiennent ainsi la trace d’un lieu précis, ce sont des objets de contemplation.
Le dessin apparaît en amont du processus de création. À travers lui, je formalise ma pensée. C’est la première apparition tangible d’une pièce en devenir. En couchant l’image mentale sur le papier, j’en évalue les proportions, la faisabilité, la présentation; j’entrevois la réalité du projet.

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139.02

Mottes 2

À froid, à chaud, solide ou liquide, le verre se caresse, se sculpte mais se rêve aussi. Je joue avec la transparence et la lumière. Mon travail est basé sur le sol, qui est devenu mon motif, mon moteur. Il me porte là où je me trouve. Mes centres d’intérêt embrassent les notions d’espace, de paysage. Je travaille à partir d’échantillons, d’empreintes de lieux, autour desquels je construis mes formes. Je moule la surface du sol d’un champ, et cette empreinte réapparaît ensuite dans mes sculptures et installations. Mes créations contiennent ainsi la trace d’un lieu précis, ce sont des objets de contemplation.
Le dessin apparaît en amont du processus de création. À travers lui, je formalise ma pensée. C’est la première apparition tangible d’une pièce en devenir. En couchant l’image mentale sur le papier, j’en évalue les proportions, la faisabilité, la présentation; j’entrevois la réalité du projet.

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139.03

Pavé

À froid, à chaud, solide ou liquide, le verre se caresse, se sculpte mais se rêve aussi. Je joue avec la transparence et la lumière. Mon travail est basé sur le sol, qui est devenu mon motif, mon moteur. Il me porte là où je me trouve. Mes centres d’intérêt embrassent les notions d’espace, de paysage. Je travaille à partir d’échantillons, d’empreintes de lieux, autour desquels je construis mes formes. Je moule la surface du sol d’un champ, et cette empreinte réapparaît ensuite dans mes sculptures et installations. Mes créations contiennent ainsi la trace d’un lieu précis, ce sont des objets de contemplation.
Le dessin apparaît en amont du processus de création. À travers lui, je formalise ma pensée. C’est la première apparition tangible d’une pièce en devenir. En couchant l’image mentale sur le papier, j’en évalue les proportions, la faisabilité, la présentation; j’entrevois la réalité du projet.

Biographie

Mathilde Caylou a étudié à l’HEAR (Haute École des arts du Rhin) de Strasbourg. Elle expose régulièrement en France et à l’étranger (Strasbourg, Paris, Munich, Prague, Zwiesel, Mulhouse et Stuttgart). Elle a travaillé dans divers ateliers, à Murano, à Ebeltoft au Danemark, à Sars-Poteries (Nord) et au CIAV (Centre international d’art verrier) de Meisenthal (Moselle).