169

Mélanie Faucher

Vitrailliste
faucher-1
169.01

Sans titre 1

Toujours là, comme un organe, quelque chose auquel on ne pense même pas, le dessin est là, c'est tout. 
Je crois avoir toujours dessiné, enfin depuis que je sais tenir un crayon mais le dessin n'a jamais été un projet en soi.
J'ai régulièrement jeté, souvent négligé. J'ai copié, recopié, re-recopié dans les salles des musées ou le nez dans des livres. Le dessin était alors un moyen d'apprendre à représenter. Si parfois je m’autorisais à dériver en solitaire sur des pages blanches, je revenais rapidement à l'exercice de la copie. 
Et puis j'ai entamé l'apprentissage du vitrail et en parallèle spontanément l'abstraction est apparue comme une évidence.
Je trace depuis sur de grandes feuilles des formes que je recadre et découpe. De ce tas de confettis émergent des fragments que je réassemble sur un fond neutre. 
Le dessin est devenu un moyen de composer, il n’est toujours pas une finalité ; cela par contre n'a pas bougé.
 

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169.02

Sans titre 2

Toujours là, comme un organe, quelque chose auquel on ne pense même pas, le dessin est là, c'est tout. 
Je crois avoir toujours dessiné, enfin depuis que je sais tenir un crayon mais le dessin n'a jamais été un projet en soi.
J'ai régulièrement jeté, souvent négligé. J'ai copié, recopié, re-recopié dans les salles des musées ou le nez dans des livres. Le dessin était alors un moyen d'apprendre à représenter. Si parfois je m’autorisais à dériver en solitaire sur des pages blanches, je revenais rapidement à l'exercice de la copie. 
Et puis j'ai entamé l'apprentissage du vitrail et en parallèle spontanément l'abstraction est apparue comme une évidence.
Je trace depuis sur de grandes feuilles des formes que je recadre et découpe. De ce tas de confettis émergent des fragments que je réassemble sur un fond neutre. 
Le dessin est devenu un moyen de composer, il n’est toujours pas une finalité ; cela par contre n'a pas bougé.
 

faucher-3
169.03

Sans titre 3

Toujours là, comme un organe, quelque chose auquel on ne pense même pas, le dessin est là, c'est tout. 
Je crois avoir toujours dessiné, enfin depuis que je sais tenir un crayon mais le dessin n'a jamais été un projet en soi.
J'ai régulièrement jeté, souvent négligé. J'ai copié, recopié, re-recopié dans les salles des musées ou le nez dans des livres. Le dessin était alors un moyen d'apprendre à représenter. Si parfois je m’autorisais à dériver en solitaire sur des pages blanches, je revenais rapidement à l'exercice de la copie. 
Et puis j'ai entamé l'apprentissage du vitrail et en parallèle spontanément l'abstraction est apparue comme une évidence.
Je trace depuis sur de grandes feuilles des formes que je recadre et découpe. De ce tas de confettis émergent des fragments que je réassemble sur un fond neutre. 
Le dessin est devenu un moyen de composer, il n’est toujours pas une finalité ; cela par contre n'a pas bougé.
 

Biographie

Après une formation classique en dessin et modelage, Mélanie Faucher se tourne vers l’art du vitrail. Elle est diplômée d’un CAP arts et techniques du verre, option Vitrail. Par la suite, d’ateliers en ateliers, elle se forme aux différentes techniques et développe ses compétences, notamment en peinture sur verre. Cette pratique a ouvert de nouvelles possibilités artistiques, permettant une plus grande liberté dans la composition des vitraux.