164

Xavier Noël

Doreur, ornementaliste
xavier-noel-1
164.01

Sans titre 1

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

x-noel-2
164.02

Sans titre 2

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

xavier-noel-3
164.03

Sans titre 3

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

xavier-noel-4
164.04

Sans titre 4

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

xavier-noel-5
164.05

Sans titre 5

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

xavier-noel-6-ok
164.06

Sans titre 6

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

40-xaviernoeldoreur-06-copie-copie-2
164.07

Sans titre 7

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

xavier-noel-8
164.08

Sans titre 8

Je ne faisais pas de croquis, au début. Je comptais sur ma mémoire pour garder mes idées et sur l’improvisation pour guider mes mains. Ma mémoire m’a joué des tours à plusieurs reprises, et j’ai alors décidé d’utiliser des carnets. J’y fais des dessins très rapidement, parfois pour laisser la trace d’un flash, fixer l’idée d’une texture, d’un assemblage, d’une silhouette, et parfois pour chercher une forme, un nez, un sourire, l’emplacement d’une paire d’oreilles ou d’une grappe de pompons. Je n’utilise quasiment jamais de couleurs, je ne transporte avec moi que le minimum : un stylo, un feutre, un crayon. Quelques annotations viennent préciser une matière, une couleur, un mouvement. Je conserve ces carnets au fil des années, ils me permettent de garder une trace de l’évolution de mes recherches, et de revenir à des projets anciens que j’intègre à mon travail actuel.

Biographie

Xavier Noël développe un travail autour du masque, hybridation des Arts premiers et anciens, de la pop culture et des techniques d’ornementation occidentale. En résultent des pièces tantôt sympathiques, tantôt inquiétantes, composées de matériaux divers et toujours inspirées des techniques traditionnelles de dorure.